samedi 29 octobre 2022

FANZINE N°13 - 80 CLASSIQUES DU CINEMA D'EXPLOITATION US


TOUTES LES COULEURS DU BIS N°13
- 80 CLASSIQUES DU CINEMA D'EXPLOITATION US -


Rédacteur : Stéphane Erbisti
Éditeur : Association Sin'Art
Format : A5
Nombre de pages : 110
Parution : Décembre 2022
Couleur 

Prix : 9 euros

Sommaire :

Dossier
80 classiques du cinéma d’exploitation US


Chroniques :
Traffic in Souls
 Forbidden Daughters
Ingagi
Freaks, la Monstrueuse Parade
This Nude World
Elysia - Valley of the Nude
Narcotic
Damaged Lives
Maniac
The Road to Ruin
Tomorrow’s Children
Sex Madness
Gambling with Souls
Marihuana
Reefer Madness
The Pace that Kills
Slaves in Bondage
Assassin of Youth
Damaged Goods
Child Bride
The Terror of Tiny Town
Unashamed - a Romance
Mad Youth
Escort Girl
Mom and Dad
Because of Eve
Test Tube Babies
The Devil’s Sleep
She Shoulda said No!
Femmes en Cage
So Young so Bad
Racket Girls
L’amour parmi les Monstres
A virgin in Hollywood
Glen or Glenda
Dementia
Dance Hall Racket
Garden of Eden
Girl Gang
Jail Bait
The Fast and the Furious
Teaserama
The Violent Years
I was a Teenage Werewolf
High School Hellcats
The Immoral Mr. Teas
La petite Boutique des Horreurs
Anatomy of a Psycho
Damaged Goods
Nude on the Moon
Carnival of Souls
Scum of the Earth
The Sadist
Blood Feast
Olga’s Girls
Muscle Beach Party
Faster Pussycat! Kill! Kill!
Bad Girls go to Hell
Les Anges Sauvages
Take me Naked
Mantis in Lace
La Nuit des Morts-Vivants
Confessions of a Psycho Cat
The Babysitter
The Cycle Savages
Love Camp 7
I Drink your Blood
Big Doll House
Werewolves on Wheels
La Dernière Maison sur la Gauche
Coffy, la Panthère Noire de Harlem
The Baby
Forced Entry
La Ceinture Noire
Les Marais de la Haine
Snuff
Poor Pretty Eddie
Trip with the Teacher
Œil pour Œil
Frère de Sang 


NOTE DU FANEDITEUR :
Le cinéma d'exploitation est aussi vieux que l'apparition du cinéma lui-même. Dès qu'il y avait un tabou, on trouvait un réalisateur pour le filmer et l'exploiter. La censure a réagi assez vite pour faire rentrer le cinéma dans le droit chemin, notamment avec le fameux code Hays, qui a proposé une liste de tout ce qu'on ne pouvait pas montrer au public. Refusant les carcans imposés par le code Hays, qui fût appliqué dès 1934, une poignée de réalisateurs indépendants a bravé les interdits et a réussi, en faisant preuve de beaucoup d'ingéniosité, à proposer au public tout ce que les grands studios de cinéma ne pouvaient plus filmer : usage de drogue, prostitution, sexe, maladies vénériennes, violence, meurtres, adultère, union inter-raciales, propos obscènes, nudisme, atteintes à la religion et j'en passe ! Le cinéma d'exploitation est le cinéma de tous les excès, celui qui ne s'offusque de rien et se permet toutes les folies ! Ce nouveau numéro de Toutes les Couleurs du Bis va vous plonger au cœur du cinéma d'exploitation américain et vous faire découvrir 80 classiques du genre, qui ont osé défier la morale et les tabous. Bon spectacle !